16/04/2009

Il y a un côté ville musée avec la multiplications des plaques commémoratives.

Pour un pays dont les régimes politiques n’ont cessés de réécrire l’histoire et où même le passé est incertain.

Comme si le pays doutait constamment de lui-même et devait se rappeler ce qu’il fut autant à ses propres yeux qu’à ceux du reste du monde.

Laisser un commentaire