Après avoir failli faire un malaise en haut du pont, avoir traversé un quartier pavillonnaire de riches, vu la plage triste (comme toutes les plages urbaines), je sature…

Pas de café correct pour me reposer, je rentre en métro.

Les supporters que j’avais croisé à l’aller reviennent calmes et victorieux avec leur joie contagieuse, toute la rame sourit.