
Les cafés sont étroits, avec peu de tables à l’intérieur. Chacun prend sa boisson et s’en va la boire debout dehors.

Je suis tellement fatigué que je n’arrive pas à faire comme les habitants. Il me faut une table et une chaise.

Les commerces ouvrent tard. Il y a un décalage avec la France qui perturbe nos horloges biologiques…

Nous achetons à emporter pour aller manger dans notre logement fonctionnel et triste. Mais nous sommes heureux d’être là et de pouvoir y passer un séjour plus long que pour les villes précédentes.