Le trajet entre l’aéroport et le centre ville de Taipei

Ce genre de travelling se reproduira souvent durant le voyage à Taïwan. Cette sensation de glisser dans le paysage est très agréable.

On voit tout et on ne saisi rien. Faire des photos dans ces conditions relève un peu du hasard.

Il faut une grande concentration pour espérer capter atmosphère de ce que l’on ressent.

Tout de suite après avoir déposé nos affaires à l’hôtel, nous ressortons marcher (ce sera entre 15 et 20 km par jour).

Les couleurs, les gens, l’architecture ce foisonnement donne envie de tout photographier, de tout absorber.

Le masque est obligatoire. C’est du coup plus facile de photographier les gens dans la rue et frustrant de ne pas voir tout leur visage.

En architecture on a l’impression que tout est néo-quelque chose mais que c’est aussi déjà trop tard.

Tout est tellement bordélique que ça en est jouissif !

Câbles aériens, plantes vertes, linge qui sèche, balais laissé là pour la prochaine fois, constructions qui semblent abandonnées, quartiers rasés, immeubles « trop » rapprochés et d’époques très variées…

Aucun scrupule à mélanger les styles, les époques, les matières et la végétation qui gagne progressivement comme pour dire que rien ne durera.

Quartier branché des jeunes sans grand intérêt sinon pour voir les passants.

Comme toujours dans ce genre de quartier les marques mondiales s’y retrouvent, mais il y a toujours un peu de place pour de petites boutiques locales comme ce Fried Chiken.

Heureusement nous quittons cet endroit pour un coin plus populaire, loin de la malbouffe.