La journée commence à aller vers sa fin, le soleil baisse et la lumière change. La ville, après avoir jouée au chat et à la souris, décide de nous offrir ses habits de carte postale, de nous permettre de faire des photos inratables avant que nous ne repartions en train vers Vérone.

Alors, soit on prend la pose de celui qui est venu à Venise et y a vu le surtourisme, le supermarché aux produits chinois, le dysneyland étouffant, soit on se dit qu’il faudra revenir plus longtemps, à d’autres saisons et avec quelques notions d’italien.

De même que Berlin n’est plus Berlin, Paris plus Paris, Venise n’est plus Venise…