Le quartier touristique de nuit (bar, commerces baba-punk ouverts tard le soir) est envahi d’autocollants militants.

Entre marquage de territoire, rappel de luttes perdues.

Les traces de militantismes à l’ancienne dans un contexte individualiste noyé dans les zérosociaux procure une sensation vaine. Il faut bien entretenir la flamme mais on ne voit pas trop le bout du tunnel.