Très vite nous prenons un vaporetto pour prendre du recul, changer de quartier et continuer d’essayer de ne pas trop être dans le courant des autres touristes.

On discute rapidement photo avec un des équipiers de notre embarcation qui nous montre ses images (très réussies) de la ville sur son smartphone.

Les touristes seraient un sujet facile à faire ici. Mais alors, je ne verrais rien de la ville… Je me laisse donc flotter sans véritable ligne directrice.

Et je profite de ce plaisir de l’eau, de ce monde instable, du vent, de l’odeur du sel et de la vue sur la ville dont la skyline semble n’être qu’une ligne droite horizontale.