Dehors, au grand air, les lignes semblent plus claires.

Même si la foule occupe toute la grande place mélangeant touristes et habitués, il y a moyen de se fixer sur la hauteur des bâtiments pour sortir la tête du flot.

Et très vite, quelques rues plus loin, il n’y a plus personne, mais un café pour pour vous accueillir.

La barrière de la langue se fait sentir pour rentrer complètement ne résonance avec la ville.