



En cours d’écriture…
Retour dans la librairie de Cheïcheï.
Contrairement à la première fois où Cheïcheï recevait un universitaire français très distant (le genre de personne qui a encore des choses à prouver au monde entier malgré son âge et ses diplômes épinglés sur la poitrine), cette fois l’atmosphère était plus détendue avec cette bande de photographes qui réinventairent le photojournalisme taïwanais dans les années 70.
Signatures de la revue qu’ils avaient fondées, du catalogue de l’exposition qui leur ai actuellement consacrée, de leurs livres… et whisky !
Ça devient mon rituel du matin.
Marcher en zigzag pour photographier les plantes vertes dans les rues tout en allant rejoindre Patrick et Feïfeï au Dutty Cafe.
Que ce soit les pots de fleurs, les vélos, les scooter et leur casque, les chaussures, les balais et tout un tas d’autres trucs, rien n’est attaché.
Les limites entre les espaces privés et publics ne sont pas clairement délimités, ce qui fait, qu’en tout état de cause, on respect tous les espaces.