7/02/2023

Entre les boutiques branchées, il y a des garages de réparation pour les scooters (50% du trafic motorisé).

Comme pour rappeler aussi, que rien ne fonctionne de beau, moderne et propre sans d’autres activités dites « sales ».

Un rappel pour ceux qui ne croient que dans les premiers de cordés et qui ne savent même pas faire pousser des radis et être solidaires avec les petits vieux abandonnés chez eux pendant le confinement…

7/02/2023

Je commence à avoir de plus en plus mal au poignet, mais je pense encore que ça va passer tout seul.

Dans ce resto, la encore, nous allons vivre une expérience unique de goûts et de saveurs…

8/02/2023

Un peu d’introspection.

Cette douleur au poignet, qui fait que je ne peux même plus tenir l’appareil photo, me désarçonne.

Je veux entrer en résonance avec tout ce qui m’entoure pour le restituer en photo, mais je me sens également un peu perdu.

J’attends beaucoup de moi, de mes capacités sensorielles pour ne rien rater, ne pas passer à côté des choses et des gens. Je suis en manque, mais je ne sais pas vraiment de quoi. Un vide intérieur m’envahit et se répand sur ma peau.

Je fais quelques autoportraits pour exister à moi-même. Retrouver une surface, une enveloppe. Je repense à cette rencontre, une histoire qui aurait pu commencer et qui ne démarrera sans doute jamais.

9/02/2023

Pier 2

Ces anciens entrepôts du port de Taipei, ont été transformé en immense galeries d’ateliers, de boutiques et de restaurants.

C’est un assez bon équilibre entre culture et marchandise avec un petit avantage pour cette dernière.

9/02/2023

Le pont tournant de Pier 2

Un brocanteur ami de Cheïcheï de Tainan. Il me montre sa collection de photos d’identité. J’en achète certaines ainsi qu’un annuaire des élèves avec leurs professeurs d’une école de Taipei des années 60.

Visite de l’atelier Moonmist dont la responsable parle couramment le français.

J’y ai trouvé un calendrier calligraphié accroché maintenant dans le petit salon à Avallon.