1/04/2024

Sitôt nous franchissons la frontière, en venant de Maastricht, aux Pays-Bas, sitôt l’urbanisme et l’usage des espaces diffèrent.

Les jardins que l’on peut voir depuis le train sont pleins de « brols », tous en bazar. Il y a, malgré tout, moins de plastique qu’en France.

1/04/2024

Quand on est arrivé à Liège, ce lundi de Pâques, la ville était déserte. Les boutiques fermés pour congés mais aussi pour location et vente donnaient aux ruelles un air de tristesse accentuée par le fait que les habitations aux étages ne sont pas occupées.

La statut de Charles Rogier trônait au milieu de la confusion entre moderne et ancien, arbres et chantier, abandon et nostalgie, marbre et gadoue.

L’immense chantier du tramway mêlé à l’urbanisme constitué de vieilles demeures et d’immeubles brutalistes un sentiment de chaos. On ne saurait dire si Liège eu été ou sera. Si elle est perdue ou en train de renaître.

1/04/2024

On croit, tout de suite, comprendre cette ville parce qu’elle est faite de toute les autres, de tous les mélanges, entre 3 langues et 5 pays différents, vieille et moderne, pas tout à fait détruite et jamais tout à fait reconstruite.

Il y a de grands axes et des ruelles étroites, des marques de luxe et des toxicos, des vins géorgiens et de la bière…