À l’approche de la ville, on survole de grands espaces de terre noire et nue. On se demande si une ville peut être là, tant l’espace est vide.
Le taxi, glisse sur de larges avenues, passant de bretelles d’autoroutes à des immeubles brejnéviens, puis staliniens et enfin la ville du XVIII° siècle.
L’atmosphère feutrée du taxi, aux vivres teintées, donne un sentiment d’irréalité comme souvent dans un décor nouveau et démesuré.