Reste qu’Ericiera est un village inspirant. Les maisons sont basses et lumineuses, la mer s’ouvre vers le Nouveau Monde et dilate l’âme. C’est effectivement là qu’on aimerait se poser à condition d’être en paix avec soi-même.

 » Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! /
Suspendez votre cours : / Laissez-nous savourer les rapides délices / Des plus beaux de nos jours ! “

(…)  » Mais je demande en vain quelques moments encore, / Le temps m’échappe et fuit ; / Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’aurore / Va dissiper la nuit.”

 » Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive, : / Hâtons-nous, jouissons ! / L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ; / Il coule, et nous passons ! «