Sur le port, les marins rangent les lignes de la pêche de la nuit. Presque sans parole, chacun refaisant les gestes de la veille.

Parfois, il faut rapiécer un filet. Économie de gestes, économie de paroles, on échange avec le regard.

Demain sera comme aujourd’hui comme hier. Seule la marée et la météo décaleront le rythme du travail.