Arrivé dans le port, au pied du village, le floklore religieux reprend un peu le dessus.

Un curé va bénir la statue et les bâteaux. C’est là que la faille entre la religion et le reste du monde se fait sentir.

Ce besoin de spiritualité carricaturé par les mots vides, les litanies creuses et les obligations stérilisantes.

Ce besoin fondamentale humain de quête de sens est parasité par une caste oiseuse et oisive.