Graphiquement, c’est une ville à la bonne échelle. Il n’y a pas trop de voiture, pas trop de monde.
Il y a beaucoup d’indiens comme touriste. Ça, pour moi, c’est nouveau et ça me plait évidement, de me retrouver avec des gens qui viennent de de l’autre côté de la terre parce que les liens politiques et culturels sont ainsi.
Nous marchons un peu au hasard dans les rues, cherchant des cafés où nos poser de temps en temps ou des boutiques de fringues d’occasion.
Je suis traversé par ce sentiment habituel des amoureux en voyage : le fait que le sentiment d’éternité de certaines villes donne la sensation que l’histoire que nous vivons est également éternelle. Comme si cela lui donnait un sens au delà de nous-même, une force phénoménale qui nous procure comme un apaisement infini.