4/02/2023

Ça grouille tout le temps et dans chaque petit coin de rue.

Le travail, ou l’activité, semble comme un seconde nature parce qu’il est de toutes heures, de tous lieux dans les boutiques ou sur le bord des trottoirs, que les espaces sont ouverts.

On est loin des sociétés paranoïaques. Mais, sans doute parce que je me laisse déborder par moi-même, je ne peux m’empêcher de ressentir le fait que la solitude fait aussi partie de tout cela.