Tainan.
L’architecture est toute différente. Les rues plus étroites, sans logique apparente d’organisation pour, me dit-on, désorienter les envahisseurs.
La ville est plus intimiste, plus ancienne et toujours cet imbrication entre le privé et le public qui fait que l’on se sent chez soi chez les autres.
Mur de photos d’amoureux dans un temple, suite à la réalisation de vœux exaucés laissé par les visiteurs.
Atelier dans la rue d’un peintre d’affiches de films pour le cinéma juste en face.