Depuis la descente de la navette de l’aéroport à la station Jamaïca, ça sent l’herbe (je n’ai jamais aimé cette odeur).
Je retrouve tout de suite les couleurs d’il y a 30 ans, l’air est frais et vif. La lumière tranchante sature les couleurs. Comme souvent, entre l’aéroport et la ville, on a l’impression de traverser des chantiers, des zones abandonnées, des bidons-villes, des entre-deux comme pour mettre en relief par contrast LA ville.