15/04/2009

Rapidement, je comprends qu’il n’y a pas de grand cafés comme je l’aurais imaginé pour une capitale européenne.

On a parfois l’impression de ne pas être là. C’est à dire qu’il n’y a pas nos interactions habituelles dans les rues ou les espaces publiques. Je pouvais photographier frontalement les gens en traversant les rues sans qu’aucun ne regarde l’objectif, même de manière subreptice.

Les contacts avec les étrangers semblent être du strict nécessaire. Même dans les boutiques, il est parfois difficile de se faire comprendre pour des choses simples, par mauvaise volonté manifeste.

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