Ce n’est que le lendemain, en changeant de quartier et en profitant de quelques rayons de soleil que j’ai pu enfin commencer à aimer Weimar.
Un peu de désordre, donc de vie. Davantage de gens dans les rues. Des cafés plus accueillants.
Ce n’est que le lendemain, en changeant de quartier et en profitant de quelques rayons de soleil que j’ai pu enfin commencer à aimer Weimar.
Un peu de désordre, donc de vie. Davantage de gens dans les rues. Des cafés plus accueillants.