
Le reflet du logo du C|O Berlin (équivalement de la Maison Européenne de la photographie à Paris) fait comme une kippa sur le crâne regardant vers le musée Helmut Newton. À droite, la station Zoologischer Garten par laquelle j’arrivais alors en train de nuit dans les années 88-92.

Berlin aux lourds passés du XX° siècle n’a pas échappé aux turpitudes du XXI° comme lors de l’attentat islamiste du 19 décembre 2016 sur le marché de Noël avec un camion causant la mort de 13 personnes et blessant 56 autres. Le monument à leur mémoire, me fait penser à du Kintsugi. Il est au pied de la Kaiser-Wilhelm-Gedächtniskirche (Église du Souvenir), elle même monument souvenir de la deuxième guerre mondiale.

Le Bild Zeitung me fait toujours penser à Heinrich Böll et son roman Die verlorene Ehre der Katharina Blum (L’Honneur perdu de Katharina Blum) qui m’a beaucoup marqué comme le reste de son œuvre.

En cherchant la Berlin-Uhr, j’ai trouvé la Uhr der fließenden Zeit (l’horloge du temps qui s’écoule) dans l’Europea Center.

La Berlin-Uhr (horloge de Berlin) ou Mengenlehreuhr (horloge de la théorie des ensembles) dont j’avais découvert l’éxistance dans le roman de Bernard Thomasson « Ma petite française ». Il y a aussi, sur l’Alexanderplatz, la Urania-Weltzeituhr (horloge universelle Urania) évidement.

En haut, il y a un bar où je passai une soirée éprouvante avec W, mais aussi un restaurant, où je passai un excellent midi avec Daniel.

Ombres et lumières, jour de la nuit, nuit des clarté.

Les escalators du KaDeWe pour trouver de bons produits avant d’aller manger chez Jean-Claude.