Avant de retrouver Alice, je marche un peu au hasard en essayant d’absorber ce que je peux de mon environnement.

La ville semble être construite, à cet endroit, sur un axe routier d’où la poussière s’élève à chaque passage de véhicule.

Il n’y a pratiquement pas de piétons, ou alors, aux arrêtes de bus. On se demande comment ils arrivent là. Ils sont soient à attendre là, soit dans un véhicule.

En prenant une rue latérale, de découvre un autre aspect de la ville, d’autres décors de cinéma mal rangés tant cela rappel, dans le désordre, les images de film américains accumulées dans ma vie sans que je ne sache plus auxquels je ferais référence.

Les repères habituels sont tellement différents des villes européennes.