Ensuite, nous partons marcher pour encore une autre partie de la ville, plus résidentielle.
Certaine maisons donneraient envie d’y vivre tant leur taille donnerait la promesse de pouvoir y reconstituer tout un monde à soi.
Il y a toujours personne dans les rues, sinon un chat de temps en temps en quête d’affection.
Je n’arrive absolument pas à imaginer de quoi les gens vivent dans ce quartier. Quel est leur niveau de vie véritable, leurs professions, leurs passions…
Parfois, un brin de fantaisie me rassure en me suggérant un soupçon de folie, de désir et de vie…
Disons le nettement, je ne comprends rien à cette ville et je ne l’aime pas.
Malgré tout, j’apprécie juste l’instant parce que je n’arrive pas à deviner ce que sera le décor suivant.