Nus allons dans le refuge pour animaux, tout près de mon logement et où nous avions pris rendez-vous hier.
Là encore, comme pour les cafés, je suis surpris par cet îlot de vie, de bienveillance et de bonne humeur.
Si l’on reste dans les rues, la ville nous échappe complètement en cette saison.
Tout se passe à l’intérieur. Il faut pousser les portes. on ne peut pas rester spectateur passif, il faut agir pour vivre dans cette ville.