28/02/2023

Alors Broadway évidement. Les néons, les écrans, les lumières, le spectacle publicitaire.

Quand on ne fait aucun effort de compréhension de ce qui est écrit, c’est assez beau surtout au moment où le soir tombe avec le sol mouillé par la pluie qui s’est arrêtée.

Mais rapidement, on fuit le quartier pour des rues plus calmes où l’on finira par trouver encore un de ces cafés vitrine à un coin de rue si agréable pour contempler le monde.

1/03/2023

Nous sommes retournés à l’endroit où j’avais passé un mois en 1992, sur la 11ème rue au niveau de l’avenue B. Le quartier a bien changé. On ne propose plus la liste de toutes les drogues possibles en bas de l’immeuble. Les boutiques et restos n’ouvrent pas avant midi, c’est un quartier de nuit. La lumière crue et le froid vif, les façades peintes, les arbres nus donnent un éclairage proche de celui de Berlin.

1/03/2023

Nous allons au Caffé Reggio dans Greenwich Village, ce même café où j’allais pour écrire, il a plus de 30 ans. Étienne Daho en parlait déjà dans une de ses chanson (« Des attractions désastre » de l’album « Paris ailleurs », 1991).

Je n’ai pas pu m’empêcher de refaire presque la même photo d’une jeune femme que j’avais faite au Rolleiflex en 1991.

1/03/2023

Il ne faut pas oublier que New York est une ville d’eau, une île. C’est ce qui en fait un lieu à part où ce qu’il y a autour compte peu. Pourquoi aller ailleurs, tout y est.

En 1992, j’étais venu à New York à la voile sur La Belle Lurette, la goélette de ma tante et mon oncle. On avait accosté au quai 25 après une traversée assez épouvante, depuis les Antilles.