11/03/2023

Nous partons marcher autour d’un lac.

Il y a tout un tas de plaque commémorant des sportifs comme pour créer une histoire au delà des individus.

Le rappels de victoires qui ont dues être vécues collectivement.

En Europe, on aurait mis des écrivains, des peintres… des créateurs d’œuvres culturelles.

Voir, des médecins, des scientifiques qui auraient apportés quelque chose de nouveau pour l’humanité.

Là, ce sont des producteurs d’émotions, sans trace palpables.

Ces différences entre un vieux et un jeune continent… le besoin de laisser des traces… de faire société… Je manque d’éléments pour comprendre et me frustre.

11/03/2023

Reste que la nature est belle.

Sitôt que l’on s’éloigne de la ville, des routes, on retrouve quelque chose d’apaisant.

11/03/2023

En rentrant de notre balade, on travers encore un autre quartier.

Les maisons plus petites me le font préféré aux autres.

Comme si je retrouvais me repères européens avec ces habitations plus modestes.

12/03/2023

Le lendemain, en nous promenant, nous restons davantage dans le centre historique.

La ville me semble déjà plus familière. On se rapproche de la structure d’une ville européenne.

nous découvrons un autre café, tout aussi ancien que le Faro. La ville remonte en flèche dans mon estime !

Un dimanche, entre deux saisons, sans étudiants fait que Sherbrooke semble bien calme.

Juste ces mens in black que nous croisons rapidement.

12/03/2023

Nus allons dans le refuge pour animaux, tout près de mon logement et où nous avions pris rendez-vous hier.

Là encore, comme pour les cafés, je suis surpris par cet îlot de vie, de bienveillance et de bonne humeur.

Si l’on reste dans les rues, la ville nous échappe complètement en cette saison.

Tout se passe à l’intérieur. Il faut pousser les portes. on ne peut pas rester spectateur passif, il faut agir pour vivre dans cette ville.