Ce n’est que le lendemain, en changeant de quartier et en profitant de quelques rayons de soleil que j’ai pu enfin commencer à aimer Weimar.
Un peu de désordre, donc de vie. Davantage de gens dans les rues. Des cafés plus accueillants.
Ce n’est que le lendemain, en changeant de quartier et en profitant de quelques rayons de soleil que j’ai pu enfin commencer à aimer Weimar.
Un peu de désordre, donc de vie. Davantage de gens dans les rues. Des cafés plus accueillants.
Et puis le musée du Bauhaus ! Une pure merveille comme la possibilité de ne plus appartenir au présent, comme si je pouvais revenir bien en arrière et tenter d’appartenir à cette société allemande que j’ai tant idéalisée et, qui sait, la sauver de ses propres démons.
Un dernier salut à Goethe et Schiller, juste au moment où je crois avoir enfin compris la ville alors que je n’ai fait qu’effleurer l’écume.
Je reprends la route pour Berlin avec mon transport des tableaux de Jano Xhenseval pour une exposition qui lui était consacrée.