Le lendemain, en allant chercher d’autres affaires à la voiture, je me suis rendu compte de l’ampleur du parking rempli de centaines de voitures.
L’organisation est très efficace, fluide et bien rodée. Malgré le monde, on ne se sent pas au bord de la saturation comme parfois dans le métro parisien.
Très vite, le territoire structure ce que l’on va vivre. Les espaces musicaux, les espaces de repos, les espaces de restaurations… chacun correspond à un profil socio-économique différent.
Simplement, le code implicite semble être de ne pas remettre en cause l’organisation, le pourquoi de notre présence ici. Comme un événement religieux, il n’y a pas de questionnement, non pas pour les détails de la vie quotidienne, mais plus généralement de l’existence même de la fête.