La Oranienstraße fut une de mes rues préférées en 1989. Nous venions, avec Pierre, finir nos nuits, de bar en bar avant de tenter d’éponger tout ça avec un kebab.

J’ai longtemps essayé de retrouver le café Anton, et je en suis toujours pas certain qu’il était à cet emplacement là.

Ce café est devenu un de mes préférés pour son espace et le fait qu’il soit en hauteur par rapport à la rue, ce qui en fait un très bon poste d’observation.

J’ai photographié W, avec ce fond d’immeubles, qui faisait le clown et finit par retraverser la rue pour venir m’embrasser.